BIENVENUE
Dans les semaines qui viennent, La Droite Bretonne va recueillir ses premières adhésions formelles et se structurer géographiquement. Un Congrès fondateur est prévu à l’automne pour tirer tous les enseignements des rendez-vous électoraux de juin et juillet 2024 et tracer les prochaines étapes de son développement.
Notre objectif
Additionner les talents des Bretons à ceux de la droite Française
Notre constat
Influence collective
La forte progression de la droite en Bretagne que l’on a remarquée aux élections européennes et législatives ne s'est pas traduit en sièges à l’Assemblée nationale.
La dynamique hexagonale est forte mais elle se heurte à des obstacles dirimants : pas enracinement local, absence de candidats représentatifs du tissu social, aucune thématique adaptée à la Bretagne et à son identité.
Le programme des partis de droite, ne laissent pas de place aux identités périphériques quand ils ne les combattent pas directement.
L'identité Bretonne
Les Bretons
Or la Bretagne, comme la Corse, l’Alsace ou le Pays basque possèdent non seulement des identités propres différentes de celle du cœur de l’Hexagone et du jacobinisme Parisien, mais ces identités se sont renforcées et diffusées dans l’ensemble de nos différentes sociétés.
En Bretagne, le sentiment d’appartenance à une collectivité historique enracinée dans un territoire est un fait que l’on observe dans toutes les strates de la société.
Ignorer cette réalité sur un plan politique ne peut avoir que des conséquences négatives non seulement pour la Bretagne mais aussi pour la France dans son ensemble comme l’illustre l’échec relatif de la droite en Bretagne.
Cette incapacité à franchir l’obstacle des élections législatives, régionales ou territoriales doit nous conduire à proposer une complémentarité aux partis hexagonaux.
Quelle alternative ?
Réalité démocratique
Cette alternative est la création d’une formation bretonne, partie intégrante de l’Union des droites, qui permet de mobiliser le plus grand nombre de Bretons contre l’immigration de peuplement et l’islamisation qui sont les deux faces d’un même péril qui met notre existence même en jeu.
Aujourd’hui, la droite en Bretagne reste prisonnière de postures indépendantistes héritées des combats fondateurs qui ont suivi la Première Guerre mondiale et qui aujourd’hui, plus de cent ans plus tard, n’ont plus de pertinence dans notre société actuelle et leur impact électoral est nul.
De son côté, la gauche bretonne, principalement incarnée par l’UDB, est tout aussi prisonnière, mais cette fois de son stérile ancrage à gauche qui la conduit à défendre les politiques d'accueil sans limites d’une immigration incontrôlée qui portent en elles la mort de notre peuple. Engagés aux côtés du Nouveau Front populaire, ils n’ont eu aucun candidat au premier tour des législatives.
Quant aux centristes du club des ni-ni, regroupés au sein du Parti breton, ils ne sont d’accord entre eux que sur des thématiques validées par la bien-pensance. Dans leur programme, le mot immigration ne figure même pas et leur notion d’identité inclut tout nouvel arrivant, peu importe de quel continent il est originaire. Il n’est donc pas étonnant que cette formation, éloignée des préoccupations de nos compatriotes, ne recueille que 12808 électeurs au premier tour des législatives, soit moins que l’UPR d'Asselineau aux européennes.
La nouvelle formation politique à laquelle nous invitons les Bretons s'inscrit dans la dynamique nouvelle de l’Union des droites et a l’ambition de lui apporter les éléments indispensables à son succès en Bretagne, des hommes et des femmes engagés et déterminés, mais aussi enracinés dans leur terre et intégrés dans le tissu social vivant de notre région.
La formation politique que nous appelons de nos vœux réconcilie les Bretons animés par un sentiment identitaire, avec la dimension française de leur histoire tout comme elle invite les Bretons attachés à la France à retrouver leurs racines propres.
Le programme de cette formation à venir s'appuie sur les propositions des grands partis de la droite hexagonale, notamment en matière d’immigration et de sécurité et lui ajoute les éléments propres à la défense de notre identité.
La nouvelle formation, qui a reçu pour nom provisoire La Droite Bretonne ou Dehou Breizh, a déjà reçu l’appui de cent militants reconnus de l’Union des droites en Bretagne.
Les principaux objectifs sont clairs:
-La lutte contre une immigration incontrôlée dans notre région. Retrouver la sécurité dans nos villes et nos campagnes.
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-La mise en avant de la culture Bretonne et naturellement une opposition ferme au wokisme.
-Un programme économique de droite qui défend l’entrepreneuriat local, et aussi l’agriculture et la pêche.
-Additionner les talents des bretons à ceux de la droite Française pour apporter un soutien et être le relais des partis nationaux en prévision d’une union des droites. Être le trait d’union entre ceux dont la communication est parfois difficile.
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